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1.
Rheumatology (United Kingdom) ; 62(Supplement 2):ii110-ii111, 2023.
Article in English | EMBASE | ID: covidwho-2327016

ABSTRACT

Background/Aims Psoriatic arthritis (PsA) is a multi-system disease with a range of management options. Treatment may vary by geographic location. We compared disease characteristics and prescribing practices in the UK and Europe in the post-Covid era. Methods The ASSIST study was a cross-sectional observational study of PsA patients aged 18 years and older selected from 24 centres across 5 countries (UK, France, Germany, Italy and Spain) between July 2021 and March 2022 (IRAS: 287039). Patients attending a face-to-face appointment with a diagnosis of PsA made by a rheumatologist were selected by systematic sampling at each centre and treated in routine clinical practice. Patient and disease characteristics, current treatment and treatment decisions (medications unchanged, switched, added or reduced) were recorded. The analysis was descriptive, with no imputation of missing data. Results 503 patients were included, with arthritis subtype, patient age, disease activity and duration shown (Table 1). Physician- and patient-reported disease severity was highest in the UK, where median patient age was lowest. Conventional synthetic (cs) DMARDS constituted a higher percentage of current PsA treatment in UK than continental Europe (66.4% vs 44.9%), whereas biologic use was more frequent in Europe (68.1% vs 36.4%). Adalimumab was the most commonly used biologic in the UK and Spain. Adalimumab and secukinumab were equally used in Germany, and ixekizumab and adalimumab were joint-first in Italy. Implementing change to the current PsA treatment was most common in the UK, predominantly being a treatment increase. This may reflect the higher level of disease activity or younger patient age in the UK than other countries, as treatment escalation is more likely earlier in the disease course. In the UK, treatment escalation was more commonly achieved by medication addition (26.2%) than medication switch (14%) or dose increase (7.5%). In Europe, medication addition and switch were of more similar frequency (10.9% vs 9.85%). Conclusion Disease characteristics and treatment strategies varied between countries, but particularly between UK and the rest of Europe. In contrast to mainland Europe, csDMARDs predominated in the UK, perhaps reflecting current NICE guidelines. Treatment escalation was most common in the UK, in keeping with higher disease activity. (Table Presented).

2.
Revue du Rhumatisme ; 89:A81-A81, 2022.
Article in French | Academic Search Complete | ID: covidwho-2182792

ABSTRACT

Chez les patients traités par biothérapies, la vaccination contre la grippe est recommandée, mais la couverture vaccinale reste très faible. L'utilisation de rappels via des moyens de communication numérique est une option qui pourrrait augmenter la couverture vaccinale sans besoin de temps médical/paramédical. Notre objectif était d'évaluer l'efficacité de rappels SMS/mails sur la couverture vaccinale contre la grippe chez les PR sous biothérapies. Entre septembre 2016 et janvier 2022, le registre multicentrique ART (NCT03062865) a recruté ∼ 1500 PR initiant un anti-TNF dans 59 centres. À l'inclusion, il a été proposé aux patients de participer à une e-cohorte et compléter des questionnaires mensuels en ligne. Nous avons conçu un essai contrôlé randomisé (ECR) niché dans l'e-cohorte de l'ART (NCT05220423). En octobre 2021 (début de la campagne vaccinale antigrippale), les patients participant activement à l'e-cohorte (n = 446) ont été randomisés pour recevoir (n = 224) ou non (n = 222) des rappels par e-mail et SMS sur l'importance de la vaccination antigrippale. En mars 2022, ils ont reçu un questionnaire (et, en cas de non-réponse, des sms) sur leur statut vaccinal contre la grippe pendant la campagne 2021–2022. Le critère d'évaluation principal était le taux de vaccination. Les données manquantes ont été traitées par imputation multiple. Parmi les 446 patients randomisés, 233 ont rempli le questionnaire complet sur la grippe et 92 patients ont seulement renseigné leur statut vaccinal contre la grippe 2021–2022. Les non-répondants (n = 121) étaient plus jeunes, plus souvent non-travailleurs ou étudiants, et étaient moins souvent à jour de leurs vaccinations lors de l'inclusion dans le registre. Le taux de vaccination était de 116/158 (73 %) dans le groupe avec rappels et de 105/167 (63 %) dans le groupe sans rappels. Après imputation multiple des données manquantes, le RR de vaccination dans le groupe avec rappels était de 1,07, 95 %CI [0,95–1,22] par rapport au groupe sans rappels. En juin 2020, 169 patients avaient répondu à un précédent questionnaire sur leur statut vaccinal antigrippe pendant la campagne 2019–2020 (pré-pandémie de COVID) ;118 (70 %) avaient déclaré avoir été vaccinés contre la grippe. Parmi les patients ayant répondu aux 2 enquêtes, le taux de vaccination ne différait pas entre 2020 et 2022 (99/137 (72 %) vs 99/137 (72 %), p = 1,00). Parmi les 233 patients ayant complété le questionnaire 2022, 144 (85 %) ont déclaré que la pandémie de COVID n'avait pas eu d'impact sur leur attitude vis-à-vis de la vaccination antigrippe. Ils déclaraient être vaccinés principalement pour se protéger (77 %) ou protéger leurs proches (32 %). Les principales raisons de la non-vaccination étaient la priorité donnée au vaccin COVID-19 (33 %) ou l'absence de crainte de l'infection grippale (25 %). La peur des effets secondaires ou la non-confiance dans les vaccins n'ont été que marginalement rapportées (6 et 8 %). Par ailleurs, 221 (95 %) ont été vaccinés contre le COVID19. Chez les patients atteints de PR sous biothérapies et adhérents aux questionnaires mensuels en ligne, les rappels SMS/email portant sur l'importance de la vaccination antigrippale n'ont augmenté que modestement, et de manière non significative, la couverture vaccinale. Cependant, notre population présente l'un des taux les plus élevés de vaccination contre la grippe de la littérature. La pandémie et la campagne vaccinale anti-COVID n'avaient pas d'impact sur le comportement des patients PR concernant la vaccination contre la grippe. (French) [ FROM AUTHOR]

3.
Revue du Rhumatisme ; 88:A42-A43, 2021.
Article in French | ScienceDirect | ID: covidwho-1537029

ABSTRACT

Introduction La réponse vaccinale chez les patients atteints de maladies auto-immunes et inflammatoires peut être fortement impactée sous certains traitements de fond, tels que le RTX. À ce jour, peu de données sont disponibles concernant les JAK inhibiteurs (JAKi), et aucune en lien avec la vaccination anti-SARS-CoV-2. L’objectif de cette étude était d’étudier la réponse vaccinale anti-SARS-CoV-2 chez des patients sous JAKi. Patients et méthodes Dans cette étude ancillaire du registre MAJIK-SFR (NCT04602091), les patients toujours sous anti-JAKi au moment de la vaccination et ayant eu une sérologie anti-SARS-CoV-2 effectuée au moins 2 semaines après un schéma vaccinal complet (2 injections du vaccin Pfizer, Moderna ou AstraZeneca, ou 1 injection du vaccin Janssen, ou infection COVID-19 suivi d’une injection de n’importe quel vaccin). Les taux d’anticorps IgG ou totaux anti-protéine spike (S1, S1/S2 ou RBD) ont été détectés à l’aide de kits commerciaux utilisant majoritairement la technique d’immunoanalyse par chimiluminescence, ou dans 4 cas par ELISA ou enzyme linked fluorescence assay (ELFA). Le patient était considéré répondeur si le taux d’anticorps détecté était≥au seuil de positivé du kit. Les caractéristiques des patients ont été comparées entre les répondeurs et non-répondeurs afin d’identifier les facteurs associés a la non-réponse. Résultats Cent treize patients ont été inclus (98 [86,7 %] atteints de PR, 15 [13,4 %] de PsA) dont 56 (49,6 %) sous baricitinib, 30 (26,5 %) sous tofacitinib et 27 (23,9 %) sous upadacitinib. Quatre-vingt-dix-sept (85,8 %) patients ont reçu une vaccination par vaccin à ARNm (Pfizer ou Moderna). Neuf patients avaient eu une infection COVID avant la vaccination. Cinq patients ont reçu une 3e dose. La réponse vaccinale a été évaluée en moyenne 8,7 semaines (±5,2) après la dernière injection. Le taux de séroconversion était de 88,5 %. Le taux de non-réponse était plus élevé sous upadacitinib (n=7/27, 25,9 %, p=0,013) comparé au baricitinib (n=5/56, 8,9 %) ou tofacitinib (n=1/30, 3,3 %). Les non-répondeurs étaient plus âgés que les répondeurs (p=0,02), mais l’âge moyen à la vaccination était similaire pour chaque JAKi. Sous barictinib et tofacitinib les non-répondeurs avaient tous≥65 ans ;4 des 7 non-répondeurs sous upadacitinib avaient moins de 65 ans. L’intervalle entre la dernière injection et la sérologie était légèrement plus long chez les non-répondeurs (11,25±5,94 vs 8,32±5,01, p=0,099). Aucun autre paramètre (utilisation concomitante de MTX ou corticostéroïdes, dose de JAKi, activité de la maladie, type de vaccin) n’était associé à une non-réponse. Un antécédent de traitement par RTX (n=18, 15,9 %) n’avait pas non plus d’impact sur la réponse vaccinale ;néanmoins, la dernière injection datait de≥6 mois avant la vaccination chez tous les patients. Conclusion Le taux de séroconversion après vaccination anti-SARS-CoV-2 chez les patients traités par JAKi reste élevé (88,5 %). Cependant, la non-réponse peut survenir principalement chez les patients âgés≥65 ans. De plus, l’upadacitinib était associé à un taux de non-réponse plus élevé (25,9 %). Ces résultats doivent être confirmés mais suggèrent que chez les patients sous JAKi de≥65 ans ou traités par upadacitinib, une évaluation sérologique pourrait être discuter pour guider la décision clinique (3e dose de vaccin et/ou vaccination familiale). L’évaluation de la réponse immunitaire cellulaire chez les non-répondeurs sera également intéressante pour déterminer si une autre forme d’immunité peut avoir été acquise.

4.
Revue de Médecine Interne ; 42:A35-A36, 2021.
Article in French | Academic Search Complete | ID: covidwho-1265859

ABSTRACT

L'effet des antipaludéens de synthèse sur les infections virales est étudié depuis plusieurs années, y compris l'hypothèse d'un effet sur le SARS [1]. L'efficacité in vitro de la chloroquine contre le SARS-CoV-2 a été décrite [2] , ainsi que la supériorité potentielle de l'hydroxycholoroquine. De nombreuses études in vivo ont été menées. Il existe peu de données sur l'impact d'un traitement au long cours par hydroxychloroquine (HCQ) sur l'infection à SARS CoV-2 et les tests diagnostiques. Nous avons pour cela analysé les données des patients atteints de COVID-19 et suivis pour un rhumatisme inflammatoire chronique et/ou une maladie auto-immune systémique (iRMD-COVID-19) selon la prise ou non d'hydroxychloroquine comme DMARD. Les patients ont été inclus à partir de la cohorte française iRMD-COVID-19 [3]. Les données cliniques, diagnostiques et d'évolution de l'infection à SARS CoV-2 des patients traités au préalable par HCQ ont été comparées à celle des patients n'ayant pas de traitement par HCQ au moment de l'infection. Les critères d'appariement étaient l'âge, le sexe, les comorbidités, un traitement immunosuppresseur, et l'utilisation de la PCR nasale. Parmi les 871 patients, 82 patients étaient traités par HCQ. Soixante et onze cas traités par HCQ ont pu être appariés et comparés à 191 témoins. Le taux de PCR nasale positive était de 85 % dans le groupe HCQ contre 81 % dans le groupe contrôle (absolute standardized difference = 6,0 %). Il n'y avait pas de différence significative entre les cas et les contrôles concernant les signes cliniques, le taux d'hospitalisation (33,8 % vs 27,7 % ;OR = 1,75 (0,86-3,56) ;p = 0,12), le taux d'admission en soins intensifs (11,3 % vs 9,4 % ;OR= 1,94 (0,69-5,41) ;p = 0,21) et le taux de décès (5,9 % vs 6,6 % ;OR = 1,10 (0,30-4,04) ;p = 0,89). Chez les patients atteints de COVID-19 et suivis pour un rhumatisme inflammatoire chronique et/ou une maladie auto-immune systémique de la cohorte French RMD Covid 19, la prise d'HCQ comme DMARD n'a pas modifié le taux de positivité de la PCR nasale, n'a pas modifié la présentation clinique et n'a pas prévenu la survenue de forme sévère de l'infection à SARS CoV-2 comparativement aux patients sans HCQ. (French) [ABSTRACT FROM AUTHOR] Copyright of Revue de Médecine Interne is the property of Elsevier B.V. and its content may not be copied or emailed to multiple sites or posted to a listserv without the copyright holder's express written permission. However, users may print, download, or email articles for individual use. This abstract may be abridged. No warranty is given about the accuracy of the copy. Users should refer to the original published version of the material for the full abstract. (Copyright applies to all Abstracts.)

5.
Revue du Rhumatisme ; 87:A288, 2020.
Article in English | ScienceDirect | ID: covidwho-947420

ABSTRACT

Introduction L’épidémie à COVID-19 a bouleversé le système sanitaire français au mois de mars 2020. La méconnaissance de cette nouvelle maladie et la difficulté d’accès aux professionnels de santé pendant le confinement ont potentiellement abouti à des modifications, parfois inadaptées, de la prise en charge des patients suivis pour des pathologies chroniques. L’objectif de cette étude était d’évaluer l’impact de l’épidémie COVID-19 sur la prise charge de la polyarthrite rhumatoïde (PR) par une enquête transversale réalisée au mois de juin 2020 chez les patients suivis dans la e-cohorte du registre ART-SFR. Patients et méthodes Le registre national multicentrique français ART-SFR inclut des PR initiant un traitement par anti-TNF depuis septembre 2016 avec un suivi prospectif prévu sur 5 ans. Lors de l’inclusion dans le registre, il est systématiquement proposé au patient de participer à la e-cohorte qui consiste à recevoir des questionnaires mensuels en ligne portant sur leurs comorbidités, les traitements pris, la tolérance des traitements, le handicap fonctionnel, les vaccins. En juin 2020 un questionnaire supplémentaire a été envoyé à tous les patients participant à la e-cohorte portant sur leurs traitements en cours et sur l’impact de l’épidémie COVID-19 sur la prise en charge habituelle de leur PR. Résultats En juin 2020, sur les 1155 patients inclus dans le registre ART, 455 avaient accepté de participer à la e-cohorte. Parmi eux, 169 (37 %), (72 % de femmes, âge moyen 54 ans, 86 % sous bDMARD ou anti-JAK) ont répondu au questionnaire portant sur l’impact du COVID-19 sur la prise en charge de leur maladie. Parmi ces patients, 16 (2,7 %) d’entre eux ont eu des symptômes compatibles avec une COVID-19, mais aucun d’entre eux n’a été testé positif (test non fait, n=11, ou négatif, n=5). Aucun de ces patients n’a été hospitalisé pour une forme sévère de COVID-19. Parmi les 145 patients sous bDMARD ou anti-JAK en mars 2020, 27 (18,6 %) d’entre eux ont eu un changement thérapeutique entre mars et juin, dont la majorité (n=18, 78 %) à la demande du rhumatologue pour une raison sans lien avec l’épidémie, 6 pour une suspicion d’infection à COVID-19. Seuls 6 patients ont interrompu d‘eux même leur traitement par crainte d’une infection à COVID-19. Par ailleurs, 79 patients (47 %) ont déclaré avoir eu des poussées pendant la période de confinement motivant un changement thérapeutique pour 23 d’entre eux (29 %). Sur les 110 patients qui devaient avoir un rendez-vous pour le suivi de leur PR pendant la période de confinement, 66 (60 %) ont noté des modifications avec un report de la consultation ou une téléconsultation. Pendant la période de confinement, 40 patients (24 %) ont été mis en arrêt de travail ou chômage partiel, 32 (19 %) ont poursuivi leur activité en télétravail et 94 (57 %) ont poursuivi leur activité à la fois en télétravail et en présentiel, 12 patients (7 %) ont uniquement travaillés en présentiel, parmi eux seuls 2 patients n’ont pas eu les moyens de respecter les gestes barrière pendant l’exercice de leur travail. Enfin, 3 patients (2 %) ont perdu leur travail. Conclusion Ces résultats rassurants sur le suivi pendant le confinement des patients PR majoritairement sous bDMARD ou anti-JAK doivent être pris avec précautions. En effet, les patients inclus dans la e-cohorte du registre ART-SFR ne sont probablement pas représentatifs des tous les patients suivis pour une PR sous traitement ciblé en France.

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